Dans moins de 15 jours maintenant nous aurons notre première échographie.
Et oui, mon homo carambarus et moi attendons un joli petit bébé pour fin novembre-début décembre.
Tout est allé beaucoup plus vite que prévu: retrait de l'implant le 14 décembre, le lendemain du décès de mon beau-père, c'était bizarre comme évènement au milieu de toutes ces larmes .
Et puis test positif le 17 mars, bizarrement je le sentais depuis quelques jours, j'en avais l'intuition même si mon Ecureuil était moins optimiste ayant peur que je sois déçue une fois de plus.
Depuis, c'est un peu la navigation à vue, le rendez-vous avec ma gynéco s'étant mal passé.
En fait, je crois qu'on l'emmerdait avec toutes nos questions et puis elle avait décrété que à 1 mois de grossesse c'était trop tôt pour plein de choses. D'ailleurs il parait que je me plantais dans mes dates alors que, organisée comme je suis, le projet bébé je le menais agenda dans une main et courbe de température dans l'autre. Du coup, elle nous mettais 10 jours dans la vue.
Je suis sortie de ce rendez-vous super déçue et puis au fur et à mesure de la journée qui avançait c'est la colère qui a pris le dessus.
Résultat, je passe par mon médecin traitant qui me connait bien et qui me fait faire les examens complémentaires parce que gygy ne m'avait même pas donner de prise de sang à faire (!) et j'ai choisi un médecin accoucheur qui fera mon suivi de grossesse et les échographies.
Pour continuer dans les contrariétés, mon super chef me fait payer le fait que je sois enceinte.
Du coup, des planning de ouf (9 jours d'affilée à 10h par jour par exemple) et des mails franchement désagréables envoyés en copie à toute l'entreprise.
J'ai donc atterri chez le médecin du travail avec de l'hyper tension, des insomnies, des crises de larmes (vives les hormones) et une perte de poids. Celui-ci est persuadé que super chef veut me pourrir ma grossesse et que cela s'apparente à du harcèlement moral.
Résulat des courses: 2 semaines d'arrêt pour commencé, certainement prolongé afin d'obtenir un retour en mi-temps thérapeuthique jusqu'à debut juillet. Ensuite le médecin du travail me mettra en arrêt jusqu'à la fin de ma grossesse à cause des trajets (1h aller et 1 heure retour dans les bouchons) et de la station debout prolongé (7 kilomètres par jour sans 5 minutes pour une pause pipi ou un verre d'eau).
Bref, j'appréhende énormément de me retrouver à la maison de juillet 2011 à février 2012 date de mon retour dans l'entreprise après l'allaitement.
Que du bonheur n'est-ce pas?
Enfin, toutes ces embuches ne me font pas oublier la plus merveilleuse des nouvelles, on va avoir un Ptiloup en novembre-décembre.
Un mois après ma soeur! Et oui on fait coup double dans la famille!
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